Vidéo de PETA USA dénonçant l’inefficacité des tests sur animaux en comparaison aux méthodes substitutives à l’expérimentation animale

Chers amis

Vous trouverez ci-dessous une vidéo en anglais de PETA USA qui fait le constat alarmant du coût et de l’inefficacité des tests sur animaux en comparaison à l’utilité des méthodes substitutives à l’expérimentation animale.

https://www.youtube.com/watch?v=zXUKxHGxD‑E&feature=emb_logo

Vous trouverez ci-dessous la traduction de cette vidéo

“Vos impôts financent cela.
Les expériences sur animaux ne sont pas seulement cruelles.
Elles induisent en erreur et sont inutiles.
En voici la preuve :
Plus de 90% des tests effectués sur les animaux ne permettent pas d’aboutir à un traitement pour les humains.
Jusqu’à 89% des recherches sur animaux ne peuvent être reproduites.
(Une étape fondamentale utilisée pour confirmer la validité des résultats scientifiques)
95% de tous les médicaments ayant été testés sur des animaux échouent dans des essais humains.
Parce qu’elles sont inefficaces ou dangereuses pour les humains, les expérimentations animales mobilisent du temps et de l’argent qui pourrait être utilisé pour de meilleures méthodes.
Il existe aujourd’hui des méthodes non testés sur les animaux mais certains chercheurs gaspillent toujours des millions de dollars provenant de nos impôts pour tourmenter des bébés singes, transmettre des troubles musculaires à des chiens, implantant des dispositifs dans des crânes de chats et en pratiquant d’innombrables autres expériences cruelles.
PETA a mis un terme à certaines d’entre elles mais beaucoup d’autres se poursuivent.
Les Américains ne méritent-ils pas mieux ?
Partagez cette vidéo si vous ne souhaitez pas que vos impôts soient utilisés pour faire du mal aux animaux.”

Nous espérons qu’elle retiendra votre attention et en ce jour de “Giving Tuesday”, nous comptons sur votre soutien et votre générosité envers les engagements du Comité Scientifique Pro Anima et les recherches éthiques et modernes substitutives à l’expérimentation animale partiellement financées par le Fonds EthicScience.