Pro Anima (en latin : “ce qui est animé, vie, souffle, esprit”) est un comité scientifique, apolitique, indépendant, rassemblant des personnalités bénévoles du monde de la médecine, de l’enseignement et de la recherche.
Pro Anima est en veille permanente sur l’actualité scientifique en rapport avec l’expérimentation animale.
Lecture des études publiées dans les médias scientifiques (Nature — Pubmed — les Bulletins électroniques “innovation” diffusés par les ambassades du monde entier, etc), nous nous inspirons tout particulièrement des publications de la revue ALTEX véritable sommité en matière d’alternatives aux expérimentations animales. Toutes nos informations sont documentées, scientifiques et vérifiables.
Nos communiqués et textes sont validés par des scientifiques bénévoles travaillant à nos côtés.
Il existe aujourd’hui, dans tous les domaines scientifiques, des alternatives valables plus fiables que les essais sur animaux ou des voies de recherche prometteuses.
Les méthodes toxicologiques officielles dépendent encore essentiellement du modèle animal pris comme substitut à l’homme. Pro Anima observe que ce modèle est dénué de valeur scientifique, au mieux inutile, et s’est déjà révélé désastreux pour la santé de la population (lire ici une analyse intéressante sur le sujet).
Les effets secondaires et les effets à long terme restent généralement inconnus. Le modèle animal sera inapplicable demain, quand il s’agira de tester les médicaments du futur.
En revanche, les développements fulgurants de la biologie moléculaire et cellulaire, ainsi que les méthodes biotechnologiques de plus en plus sophistiquées, offrent à présent les moyens d’évaluation scientifique de la toxicité, reproductibles, fiables et pertinentes pour l’homme.
Des progrès incroyables ouvrent des voies de recherche modernes, pertinentes et plus humaines également en recherche médicale. Modélisation en 3 D de cancers, recherches sur les maladies dégenératives (Alzheimer, Parkinson…) hors modèle animal.
Nous devons convaincre les responsables politiques de hâter la validation de ces méthodes, pour la sécurité des consommateurs d’abord, mais aussi pour assurer l’avenir de la recherche et la place de notre pays en la matière.
Selon les cas nous nous adressons donc aux hommes politiques, aux chercheurs et aux scientifiques, aux industriels de la santé, de la cosmétologie et bien entendu au grand public qui a le droit d’être informé dans le domaine essentiel de la santé.