Diane 35 : 25 ans d’immobilisme.


7 janvier 2013

Une mère s’indigne. Pro Anima s’interroge.

Les effets secondaires gravissimes des pilules et notamment de la Diane 35 refont leur apparition dans l’actualité. C’est un drame lié directement a la Diane 35 qui est a l’origine de la fondation de Pro Anima en 1989.

En effet, c’est suite au décès de Georgina, à 18 ans, des suites d’une thrombose dû a un traitement de Diane 35, que sa mère Christiane Laupie-Koechlin, a fondé Pro Anima.

Le but était alors de demander d’urgence une évaluation plus fiable des médicaments, hors tests sur animaux, afin d’eviter d’autres cas tragiques.

Les tests sur animaux échouent totalement lorsqu’il s’agit de détecter des effets secondaires désastreux.

Nous étions dans les années 80, mais aujourd’hui rien a changé.

Le Professeur Narbonne nous a déclaré “Une meilleure évaluation au niveau moléculaire permettrait de mieux identifier les personnes à risque”.

“les effets secondaires de cette pilule prescrite à Georgina en 1984 contre l’acné juvénile étaient dejà connus en Allemangne ! ” Déclarait dejà dans les années 90 Christiane Laupie Koechlin.

Pro Anima demande d’urgence une meilleur évaluation de nos médicaments avec des méthodes modernes d’expérimentation scientifique sans tests animaux.

 

Georgina, victime de la Diane 35 et fille de la fondatrice de Pro Anima.