Le rapport 2023 de l’EURL ECVAM décrit les activités de recherche et de développement, ainsi que les initiatives qui favorisent la mise en œuvre et l’utilisation de méthodes et d’approches non animales dans la recherche scientifique et la réglementation.
De nouvelles méthodologies d’approche englobant une gamme de technologies innovantes sont développées, évaluées et intégrées dans des cadres réglementaires afin d’améliorer l’efficacité de l’évaluation des dangers et des risques liés aux produits chimiques et aux produits dans divers contextes d’utilisation. En outre, des efforts substantiels sont déployés pour promouvoir le développement et l’utilisation d’approches non animales dans la recherche fondamentale et appliquée, où ont lieu la majorité des expérimentations animales, ainsi qu’à des fins éducatives. Les réalisations et réalisations documentées dans ce rapport sont le point culminant des efforts de collaboration avec les partenaires et parties prenantes dévoués de l’EURL ECVAM.
Le Joint Research Centre (JRC) de la Commission européenne fournit une science et des connaissances indépendantes et fondées sur des données probantes, soutenant les politiques de l’UE afin d’avoir un impact positif sur la société.
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Le Fonds national de croissance néerlandais investira 124,5 millions d’euros dans un nouveau centre d’essais biomédicaux sans animaux. Sur cet investissement, 55 millions d’euros sont accordés directement et 69,5 millions d’euros sont accordés sous conditions. Connu sous le nom de Centre de traduction biomédicale sans animaux (CPBT), son objectif est de générer des traitements plus sûrs et plus efficaces, tout en réduisant la souffrance animale.
“Les modèles basés sur les tissus des patients donnent une image plus fiable que les modèles animaux” — Jeffrey Beekman, professeur de modèles de maladies cellulaires.
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À quoi ressembleront les innovations de demain et comment peuvent-elles être réglementées efficacement sans retarder leur accès ?
Il s’agit d’une question clé à laquelle sont confrontés les décideurs politiques qui visent la compétitivité de l’UE tout en garantissant aux patients l’accès aux nouvelles technologies qui répondent à leurs besoins. L’une des caractéristiques les plus passionnantes – et les plus stimulantes – du paysage de la recherche actuel est la possibilité d’exploiter la puissance combinée des progrès en matière de diagnostic, de thérapie et de nouvelles données et outils numériques, notamment l’intelligence artificielle (IA), pour créer des solutions de santé intégrées.
À propos des auteurs : Sabine Atzor est responsable de la politique réglementaire européenne chez F. Hoffmann-La Roche Ltd depuis 2010. Alan Morrison est vice-président des affaires réglementaires internationales chez MSD et est président du comité de stratégie réglementaire de l’EFPIA depuis 2018.
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Le professeur Anna Maria Bassi, qui fait partie intégrante de la Société européenne de toxicologie in vitro (ESTIV) depuis 2000, s’est vu décerner le prestigieux prix AnimaLAV dans la catégorie Chercheurs et innovateurs.
Les prix AnimaLAV, qui englobent des catégories telles que Citoyenneté active, Journalistes et leaders d’opinion, Institutions et justice, et Chercheurs et innovateurs, célèbrent des personnes qui font preuve d’un engagement exemplaire et d’excellence dans leurs domaines respectifs.
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Une équipe de bioingénieurs·es dirigée par le professeur Hazel Screen a reçu une subvention de 7 millions de livres sterling pour créer un centre de formation doctorale (CDT) de l’EPSRC dans le domaine des technologies d’organes sur puce de nouvelle génération.
Le programme de formation doctorale combinera la recherche de pointe et l’engagement industriel, offrant à soixante doctorants ou plus la possibilité de développer les compétences et les connaissances nécessaires pour traduire la recherche en applications concrètes en partenariat avec l’industrie. Cette subvention permettra de former les futurs leaders dans le domaine en pleine expansion de la technologie des organes sur puce. Cette technologie est sur le point de révolutionner les essais précliniques de médicaments, en accélérant la mise au point de médicaments plus sûrs et plus efficaces et en réduisant le recours à l’expérimentation animale.
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Une nouvelle étude menée par des chercheurs de Stanford Medicine dévoile un nouveau modèle d’intelligence artificielle qui réussit à plus de 90 % à déterminer si les analyses de l’activité cérébrale proviennent d’une femme ou d’un homme. Cette avancée conforte le fait qu’il existe des différences significatives entre les sexes dans l’organisation du cerveau, remettant en question des controverses de longue date.
Le modèle d’IA s’est concentré sur les analyses d’IRM dynamiques, identifiant des réseaux cérébraux spécifiques, tels que le réseau du mode par défaut, le striatum et les réseaux limbiques, comme étant essentiels pour distinguer les cerveaux masculins des cerveaux féminins.
Cette recherche approfondit non seulement notre compréhension du développement cérébral et du vieillissement, mais ouvre également de nouvelles voies pour aborder les vulnérabilités liées au sexe dans les troubles psychiatriques et neurologiques.
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